7 avril 2009
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15:14
Année : 2009
Label : Soul Jazz Records
Soul Jazz Records est ce fucking label londonien que tout esthète de bon goût se doit de connaître sur le bout des ongles. La nourrice nous donne régulièrement notre dose de sons roots de haut vol. Que celui qui n'a jamais écouté les fantastiques compilations du label (à l'aveuglette, je repense à Studio One Soul, 100 % Dynamite, Tropicalia et Big Apple Rappin) stoppe immédiatement la lecture ici même et se précipite sur n'importe quelle galette.
Mais le label ne s'est jamais contenté de nous narrer les racines du hip-hop, de la soul et j'en passe. En effet, en étant basé à Londres, il a les deux pieds dans l'urbanité contemporaine. D'où la sortie de cette triple compil' aux sonorités majoritairement dubstep.
Vous allez avoir du boulot pour défricher tout ça car en deux ans, nombres de titres massifs sont sortis. Les deux premiers disques nous jettent tout ça en pâture. A retenir principalement, les morceaux d'ouverture de chaque disque, Carla et Dayrider, signés Ramadanman. Les basses vont décoller votre tapisserie et vous scotcher au canapé. Mais là ou Soul Jazz surprend c'est que loin de s'arréter au dubstep, figure aussi quelques morceaux d'electronica (le remix progressif de Gatto Fritto du Simplex de Subway totalement ensoleillé) et d'electro plus binaire. Et autant l'avouer, c'est plutôt bienvenu car le dubstep au bout d'un moment ça vous plombe définitivement l'ambiance.
Pour les flemmards, il vous suffit d'écouter le dernier disque qui est une version mixée par Kris Jones des différents maxis. Le résultat est alors imparable de noirceur citadine.

Label : Soul Jazz Records
Soul Jazz Records est ce fucking label londonien que tout esthète de bon goût se doit de connaître sur le bout des ongles. La nourrice nous donne régulièrement notre dose de sons roots de haut vol. Que celui qui n'a jamais écouté les fantastiques compilations du label (à l'aveuglette, je repense à Studio One Soul, 100 % Dynamite, Tropicalia et Big Apple Rappin) stoppe immédiatement la lecture ici même et se précipite sur n'importe quelle galette.
Mais le label ne s'est jamais contenté de nous narrer les racines du hip-hop, de la soul et j'en passe. En effet, en étant basé à Londres, il a les deux pieds dans l'urbanité contemporaine. D'où la sortie de cette triple compil' aux sonorités majoritairement dubstep.
Vous allez avoir du boulot pour défricher tout ça car en deux ans, nombres de titres massifs sont sortis. Les deux premiers disques nous jettent tout ça en pâture. A retenir principalement, les morceaux d'ouverture de chaque disque, Carla et Dayrider, signés Ramadanman. Les basses vont décoller votre tapisserie et vous scotcher au canapé. Mais là ou Soul Jazz surprend c'est que loin de s'arréter au dubstep, figure aussi quelques morceaux d'electronica (le remix progressif de Gatto Fritto du Simplex de Subway totalement ensoleillé) et d'electro plus binaire. Et autant l'avouer, c'est plutôt bienvenu car le dubstep au bout d'un moment ça vous plombe définitivement l'ambiance.
Pour les flemmards, il vous suffit d'écouter le dernier disque qui est une version mixée par Kris Jones des différents maxis. Le résultat est alors imparable de noirceur citadine.

par B2B